Lorsque la Russie a lancé son invasion de l'Ukraine le mois dernier, Ottah Abraham, un Nigérian de 27 ans, a été indigné.
Il a pris son téléphone et a tweeté : "Je veux rejoindre l'équipe."
Il se trouvait à quelque 8 700 km de la ligne de front, dans un petit appartement de Lagos, la principale ville du Nigeria.
Ce diplômé en philosophie est l'un des centaines d'Africains, originaires de pays comme le Nigeria, le Kenya, le Sénégal, l'Afrique du Sud et l'Algérie, qui se disent prêts à prendre les armes dans la bataille contre la Russie, en partie pour échapper aux sombres perspectives auxquelles sont confrontés de nombreux jeunes hommes chez eux.... suite de l'article sur Autre presse