Des grenades lacrymogènes ont été lancées dans les chambres des prisonniers qui ont été enfermés avec les gaz lacrymogènes, a révélé, vendredi, le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp). Cela fait suite aux incidents survenus ce vendredi à la prison du Camp pénal de Liberté 6. Le Frapp, le collectif pour la justice et contre les violences policières et les familles de détenus demandent la libération des 35 prisonniers du Camp pénal mis en isolement.
Ces activistes et les familles de détenus demandent au directeur de l’administration pénitentiaire de calmer le nouveau chef de cour et le directeur de la prison du Camp pénal.
Alerte
“Les prisonniers ont des droits et le Frapp, le collectif pour la justice et contre les violences policières et les familles de détenus tiendront le ministre de la Justice pour responsable de toute tragédie qui arrivera à la prison du Camp pénal“, alertent-ils dans une note transmise à Senego.