Investie depuis une décennie environnementale, la militante sénégalaise ne connaît pas la lumière médiatique portée sur d'autres égéries. Elle emploie son énergie à faire remonter les besoins des populations des villages de brousse aux conclaves feutrés des négociations internationales. Alors que la deuxième partie de la COP26 démarre, elle estime que le compte n'y est pas pour l'Afrique.... suite de l'article sur RFI