Le continent Africain, à travers l’initiative visant la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), est déterminé à jouer sa partition lors de la Conférence des Parties (COP) du 31 octobre au 12 novembre 2021, à Glasgow en Ecosse. Il est question de peser de tout son poids pour obtenir un financement annuel de 700 milliards de dollars par an dont l’usage devrait aller au-delà des Etats.
Six ans après la COP21 en France, l’Afrique attend toujours la matérialisation de l’engagement pris par les pays développés de financer à hauteur de 100 milliards de dollars par an, des initiatives permettant de lutter contre le réchauffement climatique. Il est question de décupler ce montant au regard des menaces auxquelles la planète est exposée. Avec environ 4% seulement des émissions de gaz à effet de serre, très loin derrière l’Asie, le plus grand pollueur avec 53% des émissions mondiales, l’Afrique ne voudrait plus selon toute vraisemblance, payer ce lourd tribut. Le continent qui n’en constitue pas moins l’une des principales réserves de l’écosystème mondial réclame clairement l’augmentation du financement du coût de l’adaptation au climat. ... suite de l'article sur Autre presse