Le mouvement Frapp a fait vendredi face à la presse. Les conditions difficiles des détenus dans les prisons et autres micmacs ont été mis en exergue par Guy Marius Sagna.
Selon le secrétaire administratif de Frapp, au Sénégal, les Grâces présidentielles, les libertés provisoires, les contrôles judiciaires sont monnayés.
Par conséquent, poursuit-il, les fils à papa sont logés à bonne enseigne, alors que les pauvres croupissent dans les prisons, dans des chambres à 400 personnes…