Critiqué sur sa gestion de la Délégation à l’entrepreneuriat rapide, le jeune ministre creuse son sillon dans le financement de start-up, quitte à déplaire au sein même du gouvernement.
« D’aucuns me voient sur un siège éjectable, mais pour le moment vous pouvez constater que mon fauteuil est bien stable ». Les deux mains empoignant les accoudoirs en plastique de son fauteuil de bureau, comme pour tester leur résistance, Papa Amadou Sarr, sourire malicieux au visage, ne semble pas atteint par la polémique qui l’a ciblé pendant plusieurs semaines en avril.... suite de l'article sur Jeune Afrique