Visé par une plainte pour viol, l’opposant Ousmane Sonko a refusé de répondre à la convocation de la gendarmerie en vertu de son immunité parlementaire. Celle-ci pourrait cependant être bientôt levée à l’Assemblée nationale.
La menace se précise pour Ousmane Sonko. Notifié au cours du week-end de la plainte pour « viols et menaces de mort » déposée contre lui le 2 février dernier, l’opposant a refusé lundi matin de répondre à la convocation des enquêteurs de la Section de recherches de la gendarmerie.... suite de l'article sur Jeune Afrique