Forte tête de la mouvance présidentielle, « Mimi » Touré a dû céder sa place à Idrissa Seck à la tête du Conseil économique, social et environnemental. Mais elle n’en a pas pour autant perdu la voix.
« Ce n’est pas la première fois que je prends la porte ! », plaisante-t-elle face à l’imposante porte d’entrée en bois sculpté de son domicile dakarois, qu’elle indique avoir ramenée de Côte d’Ivoire à l’époque où elle y était affectée au Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA). Depuis son entrée dans le premier gouvernement de Macky Sall, en avril 2012, Aminata Touré aura effectivement connu une trajectoire en dents-de-scie : tantôt aux premières loges, tantôt au fond de la classe.... suite de l'article sur Jeune Afrique