Construites dans les années 1950 par un architecte américain, ces habitations iconoclastes imaginées pour répondre à la démographie galopante de Dakar sont en voie de disparition.
C’est une partie de dôme qui surgit entre deux immeubles, une curiosité de béton camouflée par l’urbanisme galopant et souvent anarchique de la capitale. Fut un temps, les « maisons ballons » s’étiraient par rangées au milieu des plaines broussailleuses du quartier de Ouakam, offrant un paysage de science-fiction.... suite de l'article sur Jeune Afrique