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COVID-19 : Allons-nous accepter de faire vacciner nos enfants ?
Publié le lundi 7 decembre 2020  |  Enquête Plus
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© Autre presse par DR
Vaccin coronavirus
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Lettre d’alerte aux parents et aux responsables des établissements d’enseignement

En raison de l’épidémie Covid-19, les industries pharmaceutiques s’évertuent à mettre rapidement sur le marché, un vaccin qui en retour devrait leur rapporter beaucoup de profit, quels que soient les risques encourus par les populations. Or, nous savons que pour être développé correctement, un vaccin exige au minimum 5 à 15 ans d’expérimentation avant son homologation sur le marché et ce, à condition qu’il ne soit pas toxique.

Alors que la course au vaccin Covid-19 bat son plein avec un impératif commercial de rentabilité immédiate pour 200 vaccins en compétition, l’opinion scientifique a été scandalisée par les propos «racistes et la mentalité coloniale d’une suprématie blanche » voulant se servir de l’Afrique comme un terrain d’essai. A notre grand étonnement, des autorités sanitaires africaines autorisent en secret, le test in vivo d’un vaccin Covid-19 « dont on ne sait rien des effets secondaires potentiels, ni à court, ni encore moins à moyen ou à long terme. » Ce choix arbitraire africain ne reflète t-il pas « un cynisme mercantile effroyable » s’interroge la clinicienne et généticienne Dr Alexandra Henrion-Caude. On met en danger la vie des humanités d’un continent de loin le moins touché par Covid-19.

Ainsi, dans le but de justifier l’administration d’un vaccin au retour d’investissement faramineux, on fait durer une épidémie pour accroître l’angoisse sociale entretenue par des médias qui procèdent de manière stressante, au décompte quotidien des décès attribués à Covid-19. Or, à travers le monde, des milliers de chercheurs dont des virologues, biologistes, bactériologistes, infectiologues, épidémiologistes, physiologistes et autres pathologistes, résistent aux pressions exercées sur eux et continuent à refuser d’attribuer à Covid-19 seulement, tous les décès enregistrés dans leur pays.

Tout est fait pour convaincre de l’efficacité du vaccin à venir, alors qu’il fait l’objet d’un questionnement mondial auprès des scientifiques respectueux de l’éthique médicale car, « la course forcenée au profit est incompatible avec les contraintes de la recherche scientifique ». Qui plus est, l’épidémie s’étant estompée, on n’aurait aucunement besoin d’un vaccin et par-dessus tout, non seulement les médecins parviennent à soigner les patients avec l’hydroxychloroquine (HCQ), l’azithromycine (AZ) et le zinc, mais de par le monde, les médecines naturelles offrent également une panoplie de thérapies efficaces qui font leur preuve pour le traitement et la guérison de Covid-19.

Par ailleurs, au plan scientifique, compte tenu du phénomène d’interférence virale et de son amplification, les vaccins sont contre-indiqués chez les « porteurs sains » qui ont été contaminés par le coronavirus sans le savoir et sans avoir des signes apparents de la maladie. Dans ces conditions, aucune vaccination à l’aveugle ne doit être de mise, d’autant plus qu’on ne vaccine pas quelqu’un qui a été exposé à la maladie ciblée ! Dans tous les cas, les scientifiques indépendants dans leur analyse parce que n’ayant pas de conflit d’intérêts avec les fabricants, affirment « qu’aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus. » En septembre, un patient inscrit à l’essai du candidat vaccin d’AstraZeneca, est décédé « après avoir développé une maladie inconnue et totalement inexpliquée », tandis qu’ailleurs, des volontaires ont développé des pathologies dégénératives fulgurantes.

A la lumière des procès retentissants des scandales sanitaires devant les tribunaux, vu les informations truquées pour fabriquer une médecine fondée sur des articles sponsorisés par l’industrie pharmaceutique qui dicte ce qu’elle veut parce que soucieuse de sa santé financière plus que de celle des patients ; la santé humaine au 21e siècle est devenue un enjeu de société et une question politique car « c’est notre avenir, celui de nos enfants et de leurs enfants qui est en jeu ». La situation est d’autant plus inquiétante que les organismes de réglementation des médicaments et des vaccins, approuvent ces produits, qu’ils soient toxiques ou non, efficaces ou non, nécessaires ou non.

L’obligation politique de se faire vacciner par des moyens coercitifs, nous renseignera mieux sur l’objectif final de l’opération Covid-19 qui, après avoir couvé un coronavirus produit en laboratoire et mis l’économie mondiale en berne, cherche à présent à restaurer « la normalité » par un vaccin qui autoriserait l’obtention d’un travail, l’autorisation de voyager, etc. L’obligation scientifique quant à elle, nous conseille toute vigilance vaccinale à l’égard d’un sérum développé en une urgence absolue donnant lieu à un regard terrifié sur les substances qui la composeraient et assorties d’un code génétique dont la technologie fondée sur l’ARN (acide ribonucléique) n’a pas encore prouvé son efficacité contre d’autres virus et ses effets à long terme sont toujours inconnus.

Notre vigilance est d’autant plus justifiée que d’éminents scientifiques scandinaves mandatés par l’OMS, ont été choqués de constater que les nourrissons et les enfants récemment vaccinés en Guinée Bissau, ont été dix fois plus nombreux à mourir que les enfants non vaccinés au DTC (diphtérie, tétanos, coqueluche), vaccin le plus populaire au monde https://www.fort-russ.com). Quant aux Nations Unies, elles viennent de reconnaître qu’une initiative internationale majeure en matière de vaccins contre la poliomyélite, a provoqué en fait une épidémie mortelle de la maladie qu’elle était censée éradiquer. En résumé, le vaccin pharmaceutique contre la polio a réintroduit la maladie par une nouvelle souche plus virulente. Ce n’est donc pas une simple hypothèse lorsque l’on s’inquiète que le vaccin Covid-19 aggrave la maladie plutôt que de nous en protéger vu les infections collatérales.

Horreur de l’horreur ! Dans le contexte d’expérimentation du vaccin Covid-19 sur la population africaine, les élèves du cycle primaire sont pris d’assaut par des équipes de vaccination dans certains pays. Les enfants sont victimes d’harcèlement et soumis au chantage illégal d’être renvoyés de l’école si le parent s’oppose au vaccin. Une attitude cavalière qui défie toute éthique médicale car le consentement éclairé des parents n’est pas requis et ces derniers n’ont pas confié non plus la santé de leurs enfants à des vaccinateurs commandos de surcroît déchargés de toute responsabilité quant aux risques qu’ils peuvent faire courir aux élèves.

Or, aucune autorité sanitaire ne dispose de la légitimité de vacciner des mineurs contre la maladie Covid-19 contre la volonté des parents. Dans l’esprit solidaire de la coalition mondiale favorable au retrait des vaccins obligatoires pour Covid-19, la citoyenneté africaine doit rejeter les appels à une vaccination obligatoire, serait-elle fixée sur « instruction formelle », par une quelconque instance sanitaire. La règle générale est de ne rien faire contre sa conscience !

Nuire à la santé des enfants, c’est nuire au plus niveau de dangerosité à la santé publique. La vulnérabilité économique des pays africains ne saurait être le mobile pour en faire un laboratoire expérimental de vaccins, à plus forte raison du vaccin Covid-19 projeté pour « faire partie du programme de vaccination systématique des nouveau-nés » et qui va aussi modifier génétiquement l’humain par les nanoparticules identifiés et localisés par le réseau Internet 5G, et ingurgités dans le corps par une seringue dotée d’une puce.

A cet effet, les dynamiques associatives des parents d’élèves, des professionnels de l’éducation, en partenariat avec les responsables des écoles-collèges-lycées du Sénégal ; doivent éviter que le milieu scolaire ne livre des cobayes à un vaccin plus politico-financier que sanitaire. Un dollar investi pour un vaccin, en rapporte vingt !

Il va s’en dire que l’appui technique des professionnels de la santé, est bienvenu, si ces derniers mettent au-devant le courage scientifique de briser le silence injustifié des Ordres de la médecine face à une oligarchie pharmaceutique qui, pour rentabiliser son vaccin, a instauré en amont, une hystérie collective entretenue par des médias, le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation physique ; toutes mesures façonnées en 2020 mais qui ne s’appuient « sur aucune expérience de l’histoire de la biologie, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun tiroir de l’ encyclopédie médicale». Pour la survie de nos enfants, disons non au vaccin Covid-19 !
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