Au Sénégal, 75% des personnes interrogées dans une récente enquête affirment être favorables à l’avortement médicalisé en cas de danger pour la santé de la mère. Et 42% en cas de viol ou d’inceste.
Un sondage qui relance le débat sur le droit des femmes à avorter au Sénégal, alors que l’avortement est passible de 3 ans d’emprisonnement. Seul le code de la déontologie l’autorise en cas de danger pour la vie de la mère, dans un lourd et long processus avec l’aval de trois médecins. En attendant, plus de 50 000 avortements seraient pratiqués chaque année avec environ 16 000 cas de complications.... suite de l'article sur RFI