Face à des prisons surpeuplées, les autorités sénégalaises font le pari du bracelet électronique comme alternative aux peines d’emprisonnement. Mais le coût prévu pour sa mise en œuvre, qui interviendra à la fin de l’année, n’enchante pas tout le monde, notamment ceux qui brandissent les urgences de la justice et ses nombreux problèmes.
Le port du bracelet électronique va devenir une réalité «dans les six prochains mois» au Sénégal. Ce 29 juin, l’Assemblée nationale a voté le projet de loi introduisant ce dispositif technique comme nouveau mode d’aménagement des peines de prison ou de détention.... suite de l'article sur Autre presse