Le procès de l’ancien président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) s’est achevé ce jeudi avec les plaidoiries des avocats de la défense, qui ont plaidé la relaxe générale.
Il s’avance devant les juges, entouré de ses deux avocats. Calme et serein, vêtu d’un boubou vert pâle, Lamine Diack prend la parole au dernier jour de son procès. Accusé d’avoir permis, aux côtés de cinq autres personnes, de retarder des sanctions contre des sportifs russes soupçonnés de s’être dopés, l’octogénaire vient dire une dernière fois son attachement à l’éthique du sport. « Je ne me reconnais pas dans l’image d’un homme qui a voulu s’enrichir », insiste-t-il. Il était jugé par la 32e chambre correctionnelle de Paris pour corruption active et passive, blanchiment en bande organisée et abus de confiance.... suite de l'article sur Jeune Afrique