Entre le prix élevé du carburant, le manque d’aires de repos et surtout les dessous de table demandés lors des contrôles routiers, les conducteurs n’en peuvent plus et exigent des garanties du gouvernement.
De notre correspondante à Dakar,
Ce 19 février avait lieu le premier jour de grève pour les conducteurs de l’Union des transporteurs routiers du Sénégal. Si le décompte du nombre de grévistes est toujours en cours, le syndicat, qui compte 3000 adhérents, l’assure : il n’y aura pas de reprise du travail tant que leurs exigences ne seront pas satisfaites.
Parmi les douze doléances présentées au gouvernement le 11 février dernier, la première porte sur les contrôles routiers jugés trop nombreux et les pots-de-vin exigés par les autorités.... suite de l'article sur RFI