tension qui sévit ses derniers jours inquiète la société civile surtout les militant des droits de l'homme qui ne cessent de monter au créneau pour dénoncer ces actes jugés d'intolérance, selon Assane Dioma Ndiaye.
"Les images qui défilent à travers le net font froid au dos et ne font pas honneur à l'image de notre pays jadis considéré comme un îlot de lumière dans une certaine Afrique ténébreuse. Il y a 3 jours un mandataire d'un parti ou d'une coalition charge de déposer des listes aux élections municipales a été enlevé comme à Hollywood. Au même moment au campus de l'université, les étudiants ont été réprimés et traités comme des malpropres. Au camp pénal de liberté 6, hier d'honnêtes citoyens ont été arrosés de grenades lacrymogènes simplement pour avoir témoigné leur sympathie à un ancien Président de la République par ailleurs leader d'un parti politique légalement reconnu. Au nom de quoi tout ceci ? Pourquoi autant d'intolérance d'actes asociaux et de barbarie. Quelle appréciation, l'extérieur et les potentiels investisseurs ont aujourd'hui de notre pays ?", lance le patron de la ligue sénégalaise des droits de l'homme.