À l’inverse de l’an passé, les traditionnelles menaces de licenciements massifs ou de fermetures n’ont toujours pas pointé leur nez du côté de la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS) alors que 30 000 tonnes de sucre importées ont été autorisées au dernier trimestre de 2019 par la direction du commerce intérieur, dont un tiers contrôlé par la CSS.... suite de l'article sur Jeune Afrique