Des voix s’élèvent pour demander un réexamen de l’affaire Karim Wade, toujours exilé au Qatar. Ce sont notamment de hauts fonctionnaires qui ont relancé la demande avant d’être suivis par une partie de la société civile.
Le dossier a été relancé par un surprenant imbroglio au sommet de l’État. Devant l’ONU, deux hauts fonctionnaires sénégalais ont laissé la porte entrouverte àune « réparation » de Karim Wade, avant d’être désavoués par un communiqué du ministère des Affaires étrangères. Les avocats du fils d’Abdoulaye Wade se sont engouffrés dans cette brèche et disent ce dimanche 20 octobre prendre acte d’un tel « engagement » de l’État du Sénégal.... suite de l'article sur RFI