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La foudre et l’histoire générale du Sénégal en une
Publié le lundi 16 septembre 2019  |  Agence de Presse Sénégalaise
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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Les quotidiens reçus lundi à l’APS abordent en priorité les dangers liés à la foudre et la polémique autour de la rédaction de l’Histoire générale du Sénégal (HGS).

Vox Populi évoque les ‘’dangers’’ liés à la foudre et affiche en Une : ‘’Déjà une vingtaine de morts foudroyés’’ depuis le début de l’hivernage. ‘’9 décès à Dakar en moins d’un mois, une dizaine à l’intérieur du pays’’, signale la publication.

Les ‘’coups’’ de foudre ‘’inquiètent’’ à Dakar, selon Enquête qui écrit : ‘’après des victimes récentes en pleine mer et à Tivaouane Peulh, la foudre a tué deux personnes dans des communes de Dakar qu’on aurait cru à l’abri. Pour une fois, c’est la capitale qui semble être le parent pauvre de l’installation des paratonnerres’’.

Le journal relève que la foudre a fait deux victimes ce week-end aux Parcelles-Assainies et à Sacré-Cœur, dans la banlieue de Dakar.

A Sacré-Cœur, un jeune a été foudroyé en plein match de football tandis qu’aux Parcelles-Assainies, un jeune garçon de 20 ans a été tué sur la plage, selon le quotidien Source A qui s’interroge : ‘’Le Sénégal dispose-t-il de paratonnerres ?’’.

C’est la ‘’psychose’’ à Dakar, dit L’As qui fait état d’un bilan non officiel de 14 victimes à l’échelle du territoire national depuis le début de l’hivernage.

L’Observateur évoque des ‘’destins foudroyés’’. ‘’Depuis le début de l’hivernage, la foudre fait un ravage sans précédent dans le pays avec à la clé 14 victimes (…)’’, écrit le journal.

S’agissant du cas de Dakar, un expert explique : ‘’Cette année, tous les cas enregistrés dans Dakar sont des cas isolés qui se sont passés dans des zones non protégées’’ par le paratonnerre.

Sud Quotidien met en exergue la ‘’polémique’’ autour de la rédaction de l’Histoire générale du Sénégal et annoncent que ‘’les experts sortent du bois’’.

La publication du Volume 1/A du Tome III de l’Histoire générale du Sénégal a suscité une vague de critiques de familles religieuses, contestant la partie qui leur est consacrée dans cette production.

‘’Le Pr Iba Der Thiam et le comité de pilotage de la rédaction de l’HGS sont en mode recadrage’’, dit Sud Quotidien, soulignant que le Pr Mbaye Thiam ‘’réfute toute +volonté de falsification+’’.

Sur le même sujet, Le Quotidien note que ‘’les familles royales rejoignent les religieux dans la fronde’’ et affiche en Une : ‘’Nouvelles leçons d’histoire pour Iba Der’’. ‘’Les familles du Bour Sine Coumba Ndoffène Diouf de Diakhao, des Jaraaf et des Bissick demandent le retrait de l’ouvrage’’, selon le journal.

Source A évoque le désarroi des étudiants sénégalais en France qui doivent faire face à la hausse des droits d’inscription. Et pourtant, rappelle le journal, l’ancien ambassadeur de France au Sénégal ‘’avait promis que les étudiants sénégalais seront exonérés (…)’’.

‘’Gros mensonge’’, affiche en Une Source A, soulignant qu’’’entre les universités de Paris, Lille, Bordeaux, Montpellier,….les nouveaux bacheliers sénégalais sont obligés de débourser entre 1 800 000 francs CFA et 2 500 000 francs CFA ou rentrer au bercail’’.

Libération fait état d’un ‘’scandale tentaculaire’’ de fraude à la nationalité sénégalaise et signale que la ‘’filière sénégalaise (a été) cernée’’.

‘’(…) Le parquet de Bobigny (France) a discrètement mis à jour une rocambolesque affaire de fraude à la nationalité française à partir de paternités fantômes impliquant plusieurs sénégalais (…) Une première commission rogatoire envoyée au Sénégal a permis d’identifier deux complices de la mafia dont un… agent en service (…) au consulat de France au Sénégal’’, écrit le journal.

Dans le journal Le Soleil, le ministre de l’Enseignement supérieur, Cheikh Oumar Anne, rappelle que l’orientation des bacheliers dans le privé ‘’était une réponse conjoncturelle’’.

Le gouvernement a décidé de ne plus orienter les nouveaux bacheliers dans les établissements privés d’enseignement supérieur. Ainsi, les 52 000 inscrits au titre de l’année académique 2019-2020 seront tous accueillis dans les universités publiques.

OID/ASB
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