Comme de nombreuses voies ferrées subsahariennes, la ligne historique Dakar-Bamako attend depuis des années une remise à niveau. Mais, hormis un plan de relance de la circulation, tout reste à définir.
Le silence règne depuis plus d’un an maintenant dans la gare de marchandises dakaroise de Bel-Air. Sur les rails de la grande halle, d’où sont partis les premiers wagons vers le Mali en 1924, des locomotives hors d’âge sont à l’arrêt. Les cheminots, en grève depuis 2018 pour protester contre des arriérés de salaires, ont déserté les lieux.... suite de l'article sur Jeune Afrique