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Les conditions de visite de Khalifa Sall et autres sujets à la une
Publié le mercredi 20 mars 2019  |  Agence de Presse Sénégalaise
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux
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Les changements notés dans la délivrance des permis de visite à Khalifa Sall, la formation du prochain gouvernement sont entre autres sujets abordés par les quotidiens reçus mercredi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).

"Les conditions de détention de Khalifa Sall, Ismaïla Madior Fall durcit les clauses", selon La Tribune qui fait état d’une "note d’information" signée par le coordonnateur du juge de l’application des peines, avec des changements dans la procédure de délivrance des permis de visite.

Selon la note d’information, "tout demandeur devra satisfaire aux obligations suivantes : faire une demande adressée au coordonnateur du juge de l’application des peines, préciser l’objet de la visite, se présenter physiquement". Aucune dérogation n’est admise, selon la note.

Dans le journal, le porte-parole de Khalifa Sall, Moussa Taye, dénonce "une tentative d’humiliation" de l’ex-maire de Dakar en prison depuis mars 2017 pour escroquerie sur les deniers publics dans l’affaire de la Caisse d’avance de la Ville de Dakar.

Vox Populi relève que "malgré l’appel au dialogue de Macky Sall, les conditions de visite à Khalifa Sall sont corsées à Rebeuss". Le journal Libération parle de "la troublante note qui +verrouille+ les visites à Khalifa Sall" et souligne que "les conditions de délivrance de permis de visite à Khalifa Sall ont été effectivement corsées".

C’est une "note vinaigrée", selon Source A qui estime que "ça va de mal en pis pour Khalifa Sall". "Après avoir perdu tous ses mandats électifs, le député-maire de Dakar déchu vient de recevoir un autre coup dur venant du coordonnateur du juge de l’application des peines".

Plus d’un mois après la présidentielle, Sud Quotidien parle de "l’inertie" des institutions en attendant la formation du prochain gouvernement.

"Un président en attente de prestation de serment, sur fond de composition imminente de son futur gouvernement, et voilà que toutes les activités des institutions se mettent presque en stand-by au Sénégal", écrit le journal.

"Englués dans une sorte d’expectative générale et d’inertie indolente, cabinets ministériels et décideurs politico-institutionnels se suspendent au temps du…+Macky+. Comme si la montre s’était arrêtée, on gère les affaires courantes en invoquant le Ciel pour ne pas être oubliés au partage du +gâteau présidentiel !+", ajoute Sud qui affiche à sa Une : "Macky cogite, le pays en berne !".

Au sujet du prochain gouvernement, le ministre-conseiller en charge de la Communication de la présidence de la République déclare dans L’Observateur que "son critère premier et essentiel sera la compétence et surtout l’efficacité".

Le Quotidien ouvre ses colonnes à Moustapha Diakhaté, responsable à l’Alliance pour la République (APR). "Moustapha Diakhaté milite pour le retour du Sénat qui doit, selon lui, passer par la suppression du Haut conseil des collectivités territoriales (HCCT)", écrit le journal.

"Il estime que Karim Wade et Khalifa Sall doivent purger leur peine. Il va plus loin en proposant l’abrogation de l’amnistie, de la grâce et même des pouvoirs du président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale", résume la publication.

Enquête met en exergue la santé bucco-dentaire et titre : "Négligences coupables". Le journal souligne qu’au Sénégal, il y a 1 dentiste pour 100 000 habitants, loin des ratios de l’Organisation mondiale de la santé (OMS, 1/10 000 habitants). 67% des Sénégalais n’ont pas accès aux soins, selon le journal.

OID/ASB
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