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Libre Propos: The big five de Macky II
Publié le lundi 4 mars 2019  |  sen360.sn
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© Présidence par DR
Audience des étudiants au Palais
Dakar, le 30 mai 2018 - Les étudiants des Universités publiques du Sénégal ont été reçus par le président de la République Macky Sall. Au menu des échanges, il y avait la crise qui paralyse les universités.
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Le Président de la République, Macky Sall, a été réélu pour un deuxième et dernier mandat à la tête de l’Etat du Sénégal avec un taux de 58,27 % des suffrages valablement exprimés, selon la Commission nationale de recensement des votes (Cnrv). L’opposition, tout en refusant de reconnaître sa victoire, a décidé de ne pas saisir le Conseil constitutionnel, l’instance suprême habilitée à donner les résultats définitifs de l’élection présidentielle.

Encore moins féliciter son vainqueur. Ce qui est dommage pour notre démocratie tant chantée et adoubée dans une Afrique où l’on peut compter les alternances sur les doigts de la main. Abdou Diouf l’avait pourtant fait en 2000 pour Abdoulaye Wade et ce dernier n’avait pas non plus manqué de téléphoner à l’actuel Chef de l’Etat pour reconnaître sa victoire. L’opposition actuelle, quels que soient ses griefs, à tort ou à raison, aurait dû rester dans cette dynamique. Le Sénégal ne se porterait que mieux. Mais osons le dire : elle a raté le train de l’histoire.

Quant au Président Macky Sall, il ne devrait jamais perdre de vue qu’il y a 1.829.274 (soit 41,72 %) de ses concitoyens qui ne sont pas d’accord avec sa politique. Il lui appartient alors, en tant président de tous les Sénégalais, d’amorcer des ruptures pour son dernier mandat, un quinquennat, afin de faire du Sénégal un pays émergent. Nous retenons d’emblée cinq chantiers du « Macky II ».

REFORMES INSTITUTIONNELLES

Dans sa volonté d’amorcer une rupture afin d’instaurer une gouvernance sobre et vertueuse, le Chef de l’Etat avait confié un travail à de dignes fils de notre pays en mettant en place une Commission nationale de réforme des institutions (CNRI). Mieux, il avait même réussi à sortir le Professeur Amadou Makhtar Mbow de sa retraite pour mener à bien une telle mission. Il nous plait de rappeler les grandes lignes du décret présidentiel fixant les prérogatives au Pr Mbow et Cie.
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