Selon la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS), les importations autorisées par Dakar ont mis en péril sa survie. Des tensions exacerbées par la volonté de vendre du propriétaire.
«Nous avons été contraints de vendre à perte pendant presque un mois. » Louis Lamotte se lamente. En creux, une nouvelle fois, le directeur des ressources humaines de la CSS et conseiller spécial de la direction regrette le sort réservé par l’État sénégalais à son entreprise. Une posture devenue presque habituelle depuis quelques années.... suite de l'article sur Jeune Afrique