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Sans cahier de charges, pas d’agriculture forte"
Publié le mardi 13 novembre 2018  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par DF
Le gouvernement salue l`implication du khalife de Médina Baye dans le secteur agricole
Médina Baye, le 02 Décembre 2014 - Médina Baye, lé 02 Décembre 2014 - Le khalife de Médina Baye (commune de Kaolack), Cheikh Ahmad Tidiane Ibrahima Niasse, est l`un des plus grands producteurs agricoles du Bassin arachidier (régions du centre), où sa "forte implication" dans l`agriculture est connue de tous, a estimé le ministre de l`Agriculture et de l’Equipement rural. Photo: Dr Pape Abdoulaye Seck
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La construction d’une agriculture forte est inconcevable sans un cahier de charges prenant en compte toutes les préoccupations du secteur agricole, a déclaré lundi le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck Seck.

"Il est impossible de construire une agriculture sans un cahier de charges qui prend en compte toutes les préoccupations du secteur agricole", a-t-il dit, lors d’un atelier de validation de la Lettre de politique sectorielle de développement de l’agriculture (LPSDA) 2018-2022.

Selon lui, " l’établissement des priorités du secteur de l’agriculture doit être consensuel, d’où l’importance de la validation de la lettre de Politique sectorielle et de développement de l’agriculture".

Pour lui, "il nous faut des exploitations familiales fortes pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans tout le pays". "C’est avec la transformation durable de notre économie, que nous pourrons atteindre les objectifs en matière de sécurité alimentaire et générer des emplois ", a-t-il expliqué.

Les ressources sont certes "limitées mais les possibilités de développement de l’agriculture sont illimitées", a-t-il rappelé, avant d’ajouter : "Nous devons exploiter au mieux la ressource eau et impliquer davantage le secteur privé qui, également, fait travailler."

Pour le représentant du ministre de l’Economie et du Plan, Mayacine Camara, "la lettre de politique sectorielle et de développement de l’agriculture constitue un instrument porteur de valeur ajoutée dans la mesure où elle établit les relations entre l’Etat, les populations et les partenaires".

"Le document a permis de retracer le diagnostic du secteur, les priorités et les défis à relever", a-t-il notamment dit, avant de saluer "la belle coopération entre les deux départements ministériels".

"Nous sommes entièrement satisfaits de l’engagement et de la détermination de nos collaborateurs, pour que les objectifs fixés au secteur de l’agriculture dans la phase II du PSE [Plan Sénégal émergent] soient atteints", a-t-il lancé.

DS/ASG/BK
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