Au Sénégal, les fausses nouvelles représentent un des enjeux de l’élection présidentielle du 23 février 2019. Des activistes se mobilisent pour lutter contre leur propagation. Sur des blogs, des sites ou via les réseaux sociaux, des initiatives voient le jour pour améliorer la qualité de l’information et du débat démocratique.
Ils sont blogueurs ou simples citoyens. Sur les réseaux sociaux, ils tentent d’agir comme des modérateurs. Emmanuel Diokh est juriste, et enseignant à Dakar. Il forme ses élèves à l’usage des réseaux sociaux et intervient sur Twitter au contact de certains utilisateurs. Objectif éviter le partage de fausses nouvelles. Derrière son initiative, deux idées : d’abord faire avancer le débat démocratique avec des informations vérifiées, mais aussi limiter les prises de risques pour ceux qui partagent les fausses informations.... suite de l'article sur RFI