Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Education
Article
Education

Stabilité de l’année scolaire 2018-2019: Le CUSEMS alerte
Publié le mercredi 26 septembre 2018  |  Sud Quotidien
Conférence
© aDakar.com par SB
Conférence de presse du Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire du Sénégal (CUSEMS)
Dakar, le 26 septembre 2018 - Le Syndicat autonome des enseignants du moyen secondaire du Sénégal (CUSEMS) a animé une conférence de presse pour rappeler au gouvernement ses engagements.
Comment


Le Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen secondaire (Cusems) s’offusque des lenteurs notées du niveau d’exécution des accords déjà signés avec le gouvernement du Sénégal, le 30 avril dernier. Face à la presse, hier, mardi 25 septembre, les camarades de Abdoulaye Ndoye tiennent pour responsable l’Etat sur une quelconque perturbation de l’année scolaire 2018-2019.

Le secrétaire général du Cusems, Abdoulaye Ndoye, se veut clair : «la stabilité de l’année scolaire dépendra de l’évolution des accords déjà signés avec le gouvernement du Sénégal et les enseignants». A l’occasion du Conseil syndical national, hier, mardi 25 septembre, sous le thème : «Droit et obligation des Enseignants», Abdoulaye Ndoye insiste : si l’année scolaire connait cette année des perturbations, le gouvernement reste le seul responsable».

«Nous avons suspendu notre mot d’ordre pour aller aux examens afin de sauver l’année scolaire après l’appel du chef de l’Etat. On note aujourd’hui des lenteurs sur la mise en œuvre des accords », explique-t-il.

Dans son argumentaire pour alerter les autorités de la situation, Abdoulaye Ndoye soutient : « le quota des passerelles professionnelles est très faible. Nous attendons les deux autres virements sur les prêts DMC où le gouvernement s’était engagé à le faire en fin septembre et de procéder à son externalisation. Les lenteurs administratives ne doivent pas faire l’objet d’une revendication».

Sur la question relative aux lenteurs administratives, Abdoulaye Ndoye signale que les lenteurs dans la production des actes font qu’à un trimestre de la fin de l’année, l’Etat n’a versé que 31 milliards sur les 50 milliards prévus pour les rappels. Le budget risque de ne pas être consommé à ce rythme ».
Le Cusems attire l’attention du Premier ministre sur le respect des réunions de monitoring entre les deux parties afin d’évacuer les accords.
Commentaires