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Elections en Mauritanie : le pouvoir sort majoritaire des législatives
Publié le dimanche 9 septembre 2018  |  Agence de Presse Africaine
L`ouverture
© AFP par Samuel GEBRU
L`ouverture du 22e sommet ordinaire de l` Union africaine (UA)
Jeudi 30 janvier à Addis-Abeba en Ethiopie: A eu l`ouverture du 22e sommet ordinaire de l` Union africaine (UA) et l`élection du Président Mauritanien Mohamed, Ould Abdelaziz à la tête de l`Union Africaine(UA)
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Le parti au pouvoir en Mauritanie, l’Union pour la République (UPR) a remporté une large majorité aux élections législatives (couplées aux régionales et municipales), dont le premier tour a été organisé le 1er Septembre 2018.

Selon les résultats annoncés par le président de la Commission électorale nationale et indépendante (CENI), Mohamed Vall Ould Bellal, dans la nuit de samedi à dimanche à Nouakchott, l’UPR a raflé 67 députés à l’Assemblée nationale sur un total de 157 sièges. Mais il est en compétition pour 23 autres au second tour prévu le 15 septembre prochain.

Quant aux islamistes de Tawassoul, ils ont obtenu 13 députés sur les 131 tranchés au premier tour, ce qui leur permet de garder leur position de chef de file de l’opposition.

Le Rassemblement des forces démocratiques (RFD) d’Ahmed Ould Daddah a obtenu 3 députés, alors qu’un siège à l’Assemblée nationale est revenu à Biram Ould Dah, leader antiesclavagiste incarcéré à Nouakchott sur plainte déposée par un journaliste.

L’Assemblée nationale est désormais l’unique chambre au parlement mauritanien depuis la suppression du Sénat au titre d’un amendement constitutionnel validé par référendum en août 2017.

S’agissant régionales, le parti au pouvoir est sorti majoritaire en remportant 4 des 13 conseils régionaux, suivi par les islamistes.

Le taux de participation est de 73,44%, a précisé la CENI.

Les élections de 2018 ont connu, pour la première fois, la mise en œuvre d’une mesure convenue lors d’un dialogue entre la majorité et l’aile souple de l’opposition, à savoir l’interdiction des candidatures en dehors des partis politiques.

C’est pourquoi pas moins de 98 formations politiques y ont participé, faisant un total de 502 listes, toutes catégories confondues.

Selon la CENI, le fichier électoral s’est établi à 1.400.663 personnes, alors que le nombre de bureaux de vote sur l’ensemble du territoire est de 4.035, avec un maximum de 500 électeurs par bureau.

MOO/te/APA
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