Le gouvernement sénégalais a réfuté vendredi les "accusations graves et erronées" d'Amnesty International dont un rapport a récemment critiqué la situation des droits de l'homme dans ce pays africain réputé démocratique, à l'approche de l'élection présidentielle de 2019.
Le rapport d’Amnesty International « pose un problème d’objectivité » et « met l’accent plus sur des questions politiques que sur des sujets purement axés sur la situation des droits de l’homme », affirme le ministère sénégalais de la Justice dans un communiqué.
Il a réfuté l’accusation de « procès inéquitables » pour juger des opposants dont le maire de Dakar, Khalifa Sall, candidat à la présidentielle de février 2019 face au président Macky Sall.... suite de l'article sur Jeune Afrique