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Vers l’adhésion du Sénégal à la convention des Nations Unies sur l’eau
Publié le vendredi 16 fevrier 2018  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par DG
Atelier ‘d’information et de partage de la convention sur la protection et l’utilisation des cours d’eau transfrontaliers et des lacs internationaux
Dakar, le 15 février 2018 - Un atelier ‘’d’information et de partage de la convention sur la protection et l’utilisation des cours d’eau transfrontaliers et des lacs internationaux : processus d’adhésion du Sénégal’’ s`est tenu, ce matin, à Dakar.
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Le Sénégal entame un processus d’adhésion à la Convention des Nations unies sur l’eau en vue d’identifier les bénéfices, les possibles avantages mais aussi de voir sa contribution à la politique extérieure en eau, a dit, Thierno Hamet Baba Ly.

"L’adhésion à la Convention est un acte déclaratoire qui manifeste la volonté politique de l’Etat, de se conformer au droit international, en ce sens qu’elle n’est pas contradictoire à nos engagements sur le plan international" a souligné le secrétaire général du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement.

Thierno Hamet Baba Ly présidait, jeudi, à Dakar, l’atelier d’information et de partage de "la Convention sur la protection et l’utilisation des cours d’eau transfrontaliers et des lacs internationaux : processus d’adhésion du Sénégal".

La Convention des Nations unies sur l’eau adoptée en 1992, à Helsinki en Finlande, est relative à l’utilisation et à la protection des eaux transfrontalières et des lacs internationaux de la zone européenne de l’Amérique du nord et des pays de l’Amérique centrale.

Le Sénégal est dans un processus d’adhésion dans cette Convention ouverte depuis 2013 à tous les Etats.

"C’est un cadre juridique international qui organise les bassins transfrontaliers pour que les eaux partagées soient gérées de manière conforme à la durabilité mais également, que la valorisation de ces eaux au plan économique, entre les Etats, soit un facteur de paix et de stabilité", a indiqué M. Ly.

"Notre pays ne fait pas encore partie de cette Convention. C’est la raison de cette rencontre d’échanges et de partage qui tient compte des acquis de notre pays au niveau de l’OMVS et de l’OMVG mais également, de son leadership au niveau diplomatique" a expliqué Thierno Hamet Baba Ly.

Le processus a démarré, a-t-il fait observer, pour que "le texte soit mieux connu, mieux maîtrisé pour voir un peu si ce qu’il prévoit est conforme ou pas à nos engagements bilatéraux et multilatéraux pour que son adoption soit facilitée".
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