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Tuerie de Boffa: L’Armée Bissau-guinéenne s’implique dans la recherche des malfaiteurs (CEMGA)
Publié le vendredi 12 janvier 2018  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par DF
Fête nationale d`indépendance : Le défilé motorisé des Forces Armées
Dakar, le 4 avril 2017 - Le Sénégal a célébré, ce mardi, la 57e année de son accession à la souveraineté nationale et internationale. Un impressionnant défilé motorisé s`est déroulé à la Place de Nation.




Le chef d’état-major général des Forces armées (CEMGA) sénégalaises, le général de corps d’armée Cheikh Guèye, a annoncé jeudi à Ziguinchor, l’implication de l’armée bissau-guinéenne dans la traque des auteurs du massacre de Boffa (Ziguinchor), qui a fait 14 morts et 7 blessés.

La participation des militaires bissau-guinéens entre dans le cadre de l’Accord de coopération permanente noué avec ce pays voisin, a dit le CEMGA lors d’une rencontre avec les journalistes au cours de laquelle il a fait le point sur les opérations engagées par l’armée sénégalaise pour trouver les auteurs de la tuerie de Boffa.

"Tous les moyens sont en train d’être mis en œuvre pour trouver les auteurs de ce crime lâche et odieux", a souligné le général Cheikh Guèye, sans entrer dans les détails de l’enquête en cours.

"Ceux qui ont fait cet acte sont des criminels qui ont tué avec le plaisir de tuer", a indiqué le CEMGA, avant de confirmer que le bilan de ce massacre porte à 14 mors, avec la découverte du corps d’un individu porté disparu depuis samedi, jour des faits.

Le corps de Daouda Manga, dont la disparition avait été signalée par sa famille, a été retrouvé par l’armée dans un état de décomposition très avancée, dans la forêt de Boffa.

Le CEMGA a assisté à son inhumation à Toubacouta, l’une des localités les plus proches de la forêt de Boffa.

Les victimes - 14 morts et 7 blessés - avaient été interceptées par plusieurs hommes armés, dans la forêt classée de Bayotte. Ils avaient été forcées à se coucher par terre avant d’être froidement fusillées.

Lundi, la zone militaire numéro 5 de Ziguinchor (sud) avait assuré être engagée jusqu’à la limite de ses moyens dans la traque des "malfaiteurs" à l’origine de la tuerie.
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