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La tuerie de Boffa toujours en exergue dans les quotidiens sénégalais
Publié le mardi 9 janvier 2018  |  Agence de Presse Africaine
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux




Le carnage de samedi dernier dans la forêt de Boffa à Ziguinchor (Sud), où des hommes armés supposés appartenir au Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (Mfdc, rébellion) ont tué 13 jeunes partis chercher du bois, se paie toujours la Une des quotidiens sénégalais parus mardi.

Au lendemain du carnage, Le Témoin renseigne que «Ziguinchor (est) sous le choc, l’armée déroule», mais qu’inquiètes, les populations sollicitent la protection de l’Etat.

Selon le journal, l’armée déploie des renforts et ratisse en zone rebelle.

De son côté, EnQuête dit que «la vérité sort du bois» après la tuerie de Boffa. «La coupe abusive et illégale du bois de teck pourrait bien être la cause de l’attaque ayant causé la mort atroce de 13 personnes», explique le journal.

Dans le journal, la cellule de communication du Mfdc condamne, accuse et rassure.

«48 heures après la tuerie de Boffa-L’armée lance la grande offensive», constate L’As qui souligne que le bilan s’alourdit avec Vieux Manga porté disparu.

Nos confrères indiquent que l’armée appelle les populations au calme.

Dans Le Quotidien, «le maire de Nyassia sort du bois» et indexe la coupe abusive du bois dans la forêt. Le maire Karfa Diallo se demande : «Si le massacre avait eu lieu à Dakar, Youssou Ndour aurait-il maintenu son concert ?»

«Carnage de la forêt de Boffa-Bayote-Il pleure sur Ziguinchor. La section de recherches de la gendarmerie installe son quartier général dans la capitale du Sud. Vive émotion dans les maisons mortuaires à l’heure de l’enterrement des morts», écrit L’Observateur.

Après le carnage, Sud Quotidien parle de recrudescence de la violence armée en Casamance et note : «Quand le bois nourrit le conflit».


TE/APA
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