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Aly Ngouille Ndiaye appelle à une “planification“ en amont des interventions pour une meilleure organisation du Maouloud
Publié le lundi 27 novembre 2017  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par DG
Comité régional de développement (CRD) sur le Gamou de Tivaouane
Dakar, le 16 novembre 2017 - Le ministre de l`Intérieur a présidé un Comité régional de développement (CRD) préparatoire de l’édition 2017 du Gamou de Tivaouane.




Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Aly Ngouille Ndiaye a invité, dimanche, les acteurs et les services impliqués dans l’organisation du gamou de Tivaouane, à imaginer une planification des actions à dérouler pour que "les mêmes choses se répètent chaque année".

"A partir de maintenant, il faut qu’après le gamou qu’on fasse des planifications très tôt parce que l’administration fonctionne sur la base de budget et tout le monde sait qu’on ne peut pas faire tout ce qu’on veut dans les procédures de passation des marchés publics", a-t-il dit.

Le ministre présidait la réunion d’évaluation des préparatifs du Maouloud 2017 avec le comité d’organisation du gamou et l’administration.

Pour cette édition 2017, "toutes les dispositions sont prises pour un bon déroulement du Maouloud, évènement religieux marquant la commémoration de la naissance du Prophète, Mohamed (PSL)" a dit M. Ndiaye.

Selon lui, "avant la réunion, le préfet de Tivaouane avait déjà fait le point. Il ne restait que quelques points qui étaient en suspend [à savoir] l’eau, l’hygiène, l’assainissement".

Aly Ngouille Ndiaye a estimé qu’une "meilleure planification devrait permettre d’avoir 10 à 12 mois pour préparer cet évènement annuel".

Pour ce faire, les services techniques de l’Etat doivent aussi prendre toutes les dispositions "pour anticiper en termes de planification pour éviter que chacun se mette la pression mais aussi que l’on n’ait pas à répéter la même chose", a indiqué le ministre.

Il a également "félicité le comité d’organisation pour la bonne entente avec l’administration" avant d’exhorter ses membres à faire une évaluation après le gamou.

Cette évaluation permettra que très tôt toutes "ces opérations soient planifiées dans les différents budgets des services de l’Etat", a insisté M. Ndiaye.
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