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Gestion du pouvoir : Macky2012 pleure sur son sort
Publié le samedi 4 novembre 2017  |  Walf Fadjri L’Aurore
Le
© Présidence
Le président Macky Sall rencontre la coalition Macky 2012
Dakar, le 19 septembre 2014- Le chef de l`Etat Macky Sall a rencontré les formations membres de la Coalition Macky 2012.




La mise à l’écart de la coalition Macky2012 dans la gestion du pouvoir préoccupe le parti Kissal, membre de cette coalition. Dans un communiqué rendu public, Salif Badji et ses camarades de parti dénoncent cette situation.
«Le parti Kissal est surpris que ce sont toujours les mêmes cadres des leaders politiques anciens qui sont promus et que les segments de la coalition Macky2012 soient toujours cantonnés au rang de faire valoir électoraux malgré leurs représentativités et les compétences avérées dont ils disposent sur beaucoup de sujets d’intérêt national», ont-ils dénoncé.
Dans le même sillage, ils n’ont pas manqué de tirer sur l’opposition. «La classe politique sénégalaise offre ces temps-ci une image pitoyable et lamentable dans les différentes appréciations en cours sur l’ossature de l’actuel gouvernement de la République du Sénégal et de l’action du Président Macky Sall», déplorent-ils, soulignant au passage que «qu’elle soit de la majorité présidentielle ou de l’opposition, cette classe politique là, de par son comportement, montre son mépris pour le peuple sénégalais, et son nombrilisme crypto alimentaire de la chose publique».
Sur un tout autre registre, c’est un plaidoyer qui a été porté sur le développement des Petites et moyennes entreprises (Pme). Salif Badji demande au chef de l’Etat et au Gouvernement de soutenir et de valoriser le statut des Pme/Pmi et de les accompagner. Car, explique-t-il, «les Pme/Pmi s’activent dans l’auto emploi et partagent une vision commune». Faire de ces Pme et Pmi un levier important pour le développement du Sénégal et les collectivités territoriales, poursuit-il, «c’est l’alternative pour régler la problématique de l’emploi et du financement des femmes et des jeunes frappés par le chômage, l’exode rural et l’émigration illégale».
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