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Enquête Plus N° 836 du 26/3/2014

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Tanor Dieng reconnaît n’être qu’un conseiller ‘’officieux’’ de Macky Sall…
Publié le jeudi 27 mars 2014   |  Enquête Plus


Ousmane
© Autre presse par DR
Ousmane Tanor Dieng le secrétaire général du Parti socialiste (PS, mouvance, présidentielle)


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Invité matinal de la Radio Futurs médias (RFM) en ce 25 mars, jour anniversaire de la 2e alternance démocratique et l’arrivée de Macky Sall au pouvoir, le secrétaire général du Parti socialiste (PS), Ousmane Tanor Dieng, a reconnu n’avoir aucune position officielle auprès du chef de l’Etat.

Toutefois, le secrétaire général du PS soutient qu’il peut être considéré comme un ‘’conseiller officieux’’ du Président Macky Sall. ‘’Effectivement, quand j’ai une opinion sur un sujet, je la lui dis. Egalement, quand il a besoin de mon avis sur une question, il me le demande, c’est clair.

Mais ensuite, je ne cherche pas à savoir le sort qu’il a réservé à l’avis que j’ai donné’’, explique Tanor Dieng, à propos de ses rapports avec le président de la République. A l’en croire, il n’a aucun titre officiel dans la nomenclature du pouvoir et que tout ce qu’il fait ou dit est tout à fait officieux.

…qu’à propos de la CREI, ‘’une institution à polémique, ce n’est pas bon’’

Le secrétaire général du PS a aussi abordé la question de la traque des biens mal acquis. Une nécessité, selon lui, mais qui doit aller de paire avec la présomption d’innocence et la préservation des droits de la défense, argue-t-il.

Concernant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), Ousmane Tanor Dieng a estimé que ‘’quand on la créait, cela avait suscité un tollé. Certains estimaient que notre arsenal juridique était suffisamment outillé pour réprimer ces actes-là. Donc, les contestations ne datent pas d’aujourd’hui’’.

Néanmoins, le socialiste pense qu’on peut apporter des améliorations dans le système. ‘’Une institution à polémique, ce n’est pas bien en démocratie, il faut un minimum de consensus pour que les choses marchent. Sans consensus, c’est la remise en cause permanente qui va prévaloir’’, relève-t-il.

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