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Sud Quotidien N° 6264 du 15/3/2014

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Sénégal - Histoire des perspectives des droits de l’Homme: Le temps de joindre l’acte à la parole en développant la vertu
Publié le samedi 15 mars 2014   |  Sud Quotidien


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L’Institut des Droits de l’Homme et de la Paix (IDHP) de l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) a 30 ans. Pour célébré cette existence, l’IDHP a organisé un colloque de deux jours, (les vendredi 14 et samedi 15 mars 2014) dont le thème est «l’odyssée des 30 ans de l’Institut des Droits de l’Homme et de la Paix: histoire des perspectives des droits de l’homme».

Occasion pour l’IDHP, après 30 ans de travail, de tirer un bilan positif de ses acticités. En atteste, l’Institut a formé plusieurs cadres qui ont participé à la promotion des droits de l’homme au Sénégal. Ce qui a contribué à faire de notre pays une vitrine de la démocratie en Afrique et dans le monde. «Il a participé à la promotion des droits de l’homme sur le contient. Il a surtout participé à la formation aussi de différents membres de la société civile qui se battent aujourd’hui au niveau du Sénégal pour faire des droits de l’homme une réalité et de grands noms du Sénégal. Et, vous savez, aujourd’hui ce qui fait la force de l’Etat du Sénégal sur la scène internationale c’est son respect pour l’Etat de droit», a indiqué Me Sidiki Kaba, présidant la cérémonie d’ouverture hier, vendredi 14 mars 2014.

Cette réussite du Sénégal dans le domaine des droits de l’homme mérite d’être pérennisée en ce sens que l’heure n’est plus à la phase des théories. Il faut passer à la pratique a martelé le professeur Samba Thiam, Directeur de l’IDHP. «Il reste maintenant à concrétiser cette vision que nous avons. Il faut joindre, comme on le dit, l’acte à la parole. C’est ça qui reste et, je l’ai toujours dit, développer la vertu. Si nous avons de belles règles, de grands principes et que les hommes qui sont chargés de les appliquer ne sont pas suffisamment indépendants, suffisamment vertueux, mesdames, messieurs, nos règles, nos principes deviennent du bois mort», a-t-il relevé.

Durant deux jours les participant vont échanger sur, entre autres thèmes, les enjeux de la gouvernance en Afrique et les violences faites aux enfants et aux femmes. En plus du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, la rencontre qui a eu pour cadre l’UCAD II a enregistré la présence du recteur de l’UCAD, du doyen de la Faculté des sciences juridiques et politiques de ladite université, et des anciens directeurs de l’IDHP, les professeurs El Hadji Mbodji et Amsatou Sow Sidibé, entre autres.

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