La BCEAO dément la rumeur de faux billets de 10 000 et 5000 FCFA en circulation #aDakar

News

Économie

Article

Économie

La BCEAO dément la rumeur de faux billets de 10 000 et 5000 FCFA en circulation

Publié le mardi 24 janvier 2017 | Agence de Presse Africaine

© aDakar.com par MC
Clôture de la table ronde des bailleurs de fonds sur la Stratégie régionale d`inclusion financière dans l`UEMOA
Dakar, le 17 novembre 2016 - La table ronde sur le financement de la Stratégie régionale d`inclusion financière dans la zone UEMOA a abouti à de résultats positifs. À l`issue de la rencontre, des engagements fermes des bailleurs ont été obtenus. La table ronde a été présidée par le Gouverneur de la BCEAO.

La Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) a démenti, lundi, dans un communiqué publié sur son site internet officiel, une information relayée sur les réseaux sociaux et qui fait état de l’existence de faux numéros de série sur les billets de 10 000 et 5000 FCFA en circulation.

‘’La BCEAO informe le public que des messages frauduleux qui lui sont imputés sont diffusés sur les réseaux sociaux tendant à faire croire à l’existence de faux numéros de série sur les billets de 10 000 F CFA et 5 000 F CFA et de différences sur les dimensions de ces billets’’, indique le communiqué de l’instance financière ouest-africaine.

‘’La BCEAO dément formellement être à l’origine de ces informations malveillantes et précise qu’elle n’a apporté aucune modification à la gamme actuelle des billets de banque de son émission en circulation qui demeurent valides’’ souligne le texte.

Par conséquent, l’institution financière ‘’invite les populations à la plus grande vigilance et à ne se référer qu’aux seules voies de communication officielles usuelles de l’Institut d’émission’’.

A cet égard, la BCEAO rappelle que tous ses communiqués sont publiés sur son site internet www.bceao.int, ainsi que dans la presse écrite et audiovisuelle.

Elle se réserve donc ‘’le droit d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs et complices des actes et messages de nature à porter atteinte aux signes monétaires ayant cours légal dans les Etats membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA)’’, conclut le communiqué.