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La diplomatie sénégalaise, la radicalisation des magistrats et la politique à la Une des quotidiens
Publié le mardi 15 novembre 2016  |  Agence de Presse Africaine
L`adoption
© aDakar.com par MC
L`adoption du code de la presse continue de faire débat au Sénégal
Photo: Revue de presse; Journaux




La presse sénégalaise parvenue mardi à APA accorde un traitement de faveur à la diplomatie sénégalaise, à la radicalisation de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) face au projet de réforme de la Cour suprême, devant instaurer un mandat de six ans pour le président de ladite juridiction, entre autres, et à la politique.

«Relations sénégalo-turque-Fritures sur la ligne Dakar-Ankara», note L’Observateur. Le journal souligne que Macky engage le bras de fer avec Erdogan (président turc).

«A l’origine, l’affaire Fethullah Gülen et la fermeture de Yavuz Selim. LA Turquie bloque le partenariat Air Sénégal-Turkish Airlines», rappelle L’Obs.

Le Témoin se focalise sur la diplomatie de maintien de la paix et donne «le performances onusiennes du Sénégal» qui, selon le journal, en plus d’être le 7ème fournisseur de troupes aux opérations de maintien de la paix et le 3ème africain, est aussi le pays dont les contingents contiennent plus de femmes.

Nos confrères ajoutent que la présidence sénégalaise du Conseil de sécurité a déjà reçu 20.000 courriers et l’ambassadeur Fodé Seck préside près de 190 réunions.

«Voyages tous azimuts du Chef de l’Etat-Macky, un président en l’air», titre Walfadjri qui estime que le président passe le plus clair de son temps hors du territoire national.
De son côté, Direct-Info revient sur la rencontre la semaine dernière entre le ministre des Affaires étrangères avec des patrons de presse et titre : «Mankeur Ndiaye convie sa presse dans un hôtel de la place-Le MAESE et ses pratiques claniques et discriminatoires».

L’As traite de «la leçon magistrale du professeur Mamadou Diouf» sur l’élection de Donald Trump, la Gouvernance de Macky Sall et le Plan Sénégal Emergent (Pse).

Selon le professeur Diouf, «le pôle de Diamniadio n’est pas un pôle parce que c’est une continuité de Dakar».

Ce journal revient également sur la nomination pour six ans de Badio Camara, président de la Cour suprême, à la faveur de la réforme, et note que «les magistrats de la cour suprême déchirent le texte».

«Le Procureur général Cheikh Tidiane Coulibaly parmi les présents. Seuls quatre juges étaient absents», écrit L’As.

«Projet de loi sur la Cour suprême-L’Ums alourdit la peine. Les magistrats veulent un retrait immédiat et sans condition du texte», détaille Le Quotidien.

Ce qui fait dire à La Tribune que «les magistrats se radicalisent».

Ce journal traite aussi de la polémique autour de la libération de Wade-fils et indexe «le silence coupable de Karim».

«Polémique continue sur la libération de Karim-Des paroles et des actes», titre EnQuête, soulignant qu’il s’agit d’une grâce présidentielle selon Seydou Guèye, porte-parole du Gouvernement, d’un exil forcé pour le Pds et d’un deal international aux yeux d’Idrissa Seck.

En faits de société, Sud Quotidien parle du diabète qu’il qualifie e maladie onéreuse car, il faut «1 million par an pour assurer sa survie».
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