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Le Sénégal salue l’esprit de partenariat tissé avec la BAD
Publié le mercredi 12 mars 2014   |  Agence de Presse Africaine


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© Autre presse par DR
M Amadou Bâ, ministre de l’Economie et des Finances


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Le ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, Amadou Bâ, a salué, mercredi à Dakar, l’esprit de partenariat qui caractérise la coopération de son pays avec la Banque africaine de développement (BAD).

M. Bâ qui présidait l'ouverture officielle de la revue annuelle conjointe de la coopération entre la BAD et le gouvernement du Sénégal, a ajouté qu'une telle coopération a permis de ‘'mobiliser à ce jour plus de 913 milliards FCFA (environ 1,826 milliard de dollars) pour le financement d'une soixantaine d'opérations''.

La revue annuelle du portefeuille de la BAD au Sénégal est une occasion d'assurer une concertation entre les acteurs impliqués dans la mise en œuvre du programme de coopération entre la BAD et le Sénégal, en vue d'en identifier les principales contraintes et de formuler des recommandations appropriées pour une meilleure efficacité dans la réalisation des activités.

Sur ce pont, le ministre est d'avis que sa préparation avec les experts de la BAD a permis de constater une nette amélioration de la situation du portefeuille.

''Des avancées significatives ont été également notées en matière de délais de traitement des dossiers, de passation de marchés et de maîtrise des procédures de la BAD grâce notamment aux formations dont ont bénéficié les responsables des projets sur ces aspects'', a affirmé Amadou Bâ.

Il a en outre souligné que le renforcement du bureau régional de la BAD à Dakar en personnel et en pouvoir de décision, a joué en faveur des progrès notables réalisés.

En dépit de cette amélioration, le ministre est d'avis que ‘'des efforts restent encore à fournir notamment sur la question des audits''. Il a justifié ses propos par le fait que le non dépôt à date échue des rapports d'audit constitue une cause de suspension des décaissements.

''Or, les longs délais enregistrés dans leur réalisation ne favorisent pas leur dépôts à temps en raison notamment des multiples rejets dont ils font fréquemment l'objet'', a dit M. Bâ, préconisant une concertation entre les acteurs de la chaîne de l'audit des projets sur les causes des rejets afin de proposer des solutions qui devaient être immédiatement appliquées.


MS/cat/APA

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