Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Senegal    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Société
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Société

Souleymane Jules Diop : « Je me suis senti fier des éloges du Président à Pékin, Paris et au Qatar »
Publié le mardi 4 mars 2014   |  Senenews


Souleymane
© Autre presse par DR
Souleymane Jules Diop, journaliste chroniqueur


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Sur sa page Facebook, le chargé de communication du président Macky Sall tire un bilan triomphaliste de sa prise en charge de la communication présidentielle. Jadis réputé pour ses critiques acerbes du pouvoir, c’est en nouvel apparatchik rasé de prés, discipliné et consciencieux que l’ancien pourfendeur des autocrates africains se présente désormais.

«Plus personne ne pourra dire que nous ne communiquons pas, plus personne ne pourra dire que nous n’avons pas une vision, plus personne ne pourra dire que nous n’avons pas un cap. En moins de deux ans, nous avons trouvé les investissements pour nos projets majeurs, notamment en matière d’infrastructures. Il y a moins de deux ans, quand nous sommes arrivés affaires, nous avons trouvé une situation si désastreuse qu’il nous était difficile de payer les salaires des fonctionnaires.

Nos efforts ont fini par payer et nous le devons surtout au leadership du Président de la République. Je me suis senti fier des éloges que le Président de la République a reçus, à Pékin, Paris et au Qatar.

Je me suis souvenu de de notre premier entretien de travail, quand je suis revenu de Bruxelles, pour prendre en charge sa communication. Je lui ai demandé : quel Président de la République voulez-vous être; quel Sénégal voulez-vous laisser aux générations futures. Il a indiqué la vision, le cap.

Nous y sommes, malgré les critiques malveillantes, les quolibets de nos adversaires. Grâce à nos efforts de rationalisation de nos ressources internes, à nos économies budgétaires, l’Etat a pu financer 60% de cet ambitieux programme, devenant ainsi le premier investisseur public. C’est un changement total de paradigme, une victoire sur le passé. Nous venons donc de loin, mais nous pouvons aller loin.

Il faut y croire.»

 Commentaires