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Sénégal - Référendum : Faible affluence au 1er jour du vote des militaires et paramilitaires
Publié le dimanche 13 mars 2016  |  Agence de Presse Africaine
Référendum
© aDakar.com par DF
Référendum - Les militaires ont commencé à voter
Dakar, le 11 mars 2016 - Les militaires ont commencé à voter pour le référendum. Les Hommes de tenue sont inviter à se rendre aux urnes une semaine avant la tenue du vote.




Le vote anticipé des 23.003 militaires et paramilitaires pour le référendum du 20 mars 2016 sur la réforme constitutionnelle au Sénégal, se poursuit ce dimanche, après une faible affluence notée au premier jour de samedi.


Selon le chef d'état-major général des Forces Armées, le General Mamadou Sow, cette faible affluence se justifie par la présence de militaires et paramilitaires sénégalais sur plusieurs théâtres d'opération.

De son côté, le président de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Doudou Ndir s'est félicité du ‘'bon déroulement'' du vote des militaires et paramilitaires.

Ce dimanche, les Sénégalais établis au Congo Brazzaville votent aussi.

Par contre, les Sénégalais vivant en Lybie et en Centrafrique ne vont pas voter pour cause d'insécurité.

La campagne électorale pour le référendum du 20 mars portant sur 15 réformes constitutionnelles a débuté samedi à minuit.

Durant une semaine, les animateurs des «fronts» du Oui et du Non vont descendre sur le terrain.
Toutefois, les stratégies retenues par les deux camps, ponctuées par des meetings et porte -à porte, se ressemblent.

L'opposition et la société civile appellent à voter Non, arguant que le scrutin est dépourvu de sa raison d'être qui était la promesse du chef de l'Etat de réduire son mandat en cours, de 7 à 5 ans.

Quoiqu'il en soit, les réformes soumises que veut apporter le pouvoir visent la modernisation du rôle des partis politiques dans le système démocratique en instituant le statut de chef de l'opposition,
la participation des candidats indépendants à tous les types d'élection, la promotion de la gouvernance locale et du développement territorial par la création du Haut conseil des collectivités territoriales, l'intangibilité des dispositions relatives au mode d'élection, à la durée et au nombre de mandats consécutifs du président de la République.

Selon le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, «tout est fin prêt pour la tenue de ce scrutin» dont le coût est estimé à près de deux milliards FCFA.

TE/of/APA
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