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Référendum du 20 mars prochain: La campagne pour le triomphe du NON gagne du terrain à Thiès
Publié le lundi 7 mars 2016  |  Enquête Plus
Référendum:
© Autre presse par DR
Référendum: Les partisans du "OUI" ou du "NON" déjà en ordre de campagne




Les membres du mouvement de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, (Cis), ont tenu hier un point de presse. Une rencontre au cours de laquelle, ils ont décliné leur ambition de voter NON lors des prochaines joutes référendaires aux côtés du front pour le NON

‘’Nous sommes contre et disons non pour l’organisation d’un référendum qui est aujourd’hui vidé de son sens. Nous disons non pour un référendum de réformes sur lesquelles il n’y a eu ni des concertations, ni dialogue avec l’opposition’’. C’est, du moins, la position déclinée par le Secrétaire général de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, le professeur Pape Ibra Samb et ses militants qui faisaient face hier à la presse. Ledit parti a en effet reçu son récépissé le 20 février dernier.

Et Selon son leader, l’organisation de ce référendum risque de diviser le pays en deux camps au lieu de consolider l’unité nationale et de renforcer la démocratie du pays. Aussi, le professeur Samb, d’estimer que puisque la réforme majeure qui devait réduire le mandat en cours du président n’est plus concernée, l’idéal serait de s’asseoir autour d’une table afin de trouver des consensus avec l’opposition et la société civile. Et d’ajouter : ‘’il aurait été plus simple d’aller vers des réformes de consensus et de les faire adopter par l’Assemblée nationale’’.

Dans la même veine, le Professeur Samb, a fait savoir que si un référendum devait avoir lieu, il devrait être une consultation électorale au cours de laquelle les réformes proposées ne découleront pas d’une ‘vision manichéenne et réductrice qui risque de diviser la nation sénégalaise’’. ‘’Une situation qui serait néfaste économiquement et non viable politiquement surtout quand on sait que l’organisation d’un référendum nécessite plusieurs milliards de francs CFA’’, dit-il. Avant de prédire que le triomphe du NON se fera sans conteste avec des alliances. D’où la volonté de son parti de rejoindre dans les meilleurs délais les rangs du Front du NON.

Les membres du mouvement de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, (Cis), ont tenu hier un point de presse. Une rencontre au cours de laquelle, ils ont décliné leur ambition de voter NON lors des prochaines joutes référendaires aux côtés du front pour le NON

‘’Nous sommes contre et disons non pour l’organisation d’un référendum qui est aujourd’hui vidé de son sens. Nous disons non pour un référendum de réformes sur lesquelles il n’y a eu ni des concertations, ni dialogue avec l’opposition’’. C’est, du moins, la position déclinée par le Secrétaire général de la Convergence d’initiative pour le Sénégal, le professeur Pape Ibra Samb et ses militants qui faisaient face hier à la presse.

Ledit parti a en effet reçu son récépissé le 20 février dernier. Et Selon son leader, l’organisation de ce référendum risque de diviser le pays en deux camps au lieu de consolider l’unité nationale et de renforcer la démocratie du pays. Aussi, le professeur Samb, d’estimer que puisque la réforme majeure qui devait réduire le mandat en cours du président n’est plus concernée, l’idéal serait de s’asseoir autour d’une table afin de trouver des consensus avec l’opposition et la société civile. Et d’ajouter : ‘’il aurait été plus simple d’aller vers des réformes de consensus et de les faire adopter par l’Assemblée nationale’’.

Dans la même veine, le Professeur Samb, a fait savoir que si un référendum devait avoir lieu, il devrait être une consultation électorale au cours de laquelle les réformes proposées ne découleront pas d’une ‘vision manichéenne et réductrice qui risque de diviser la nation sénégalaise’’. ‘’Une situation qui serait néfaste économiquement et non viable politiquement surtout quand on sait que l’organisation d’un référendum nécessite plusieurs milliards de francs CFA’’, dit-il. Avant de prédire que le triomphe du NON se fera sans conteste avec des alliances. D’où la volonté de son parti de rejoindre dans les meilleurs délais les rangs du Front du NON.
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