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La vaccination privilégiée pour la réduction de la mortalité infantile
Publié le samedi 27 fevrier 2016  |  Agence de Presse Sénégalaise
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© aDakar.com par A. Seck
Sommet de la Francophonie: Stéphane Harper à l`hôpital Phillippe Maguilène Senghor
Dakar, le 28 Novembre 2014 - Les Premiers ministres du Sénégal Mouhamed Boun Abdallah Dionne et du Canada Stéphane Harper accompagnés par le ministre de la santé Awa Marie Coll Seck se sont rendus à l`hôpital Phillippe Maguilène Senghor de Dakar.




La première conférence ministérielle sur la vaccination en Afrique a été clôturée, jeudi à Addis-Abeba (Ethiopie), avec l’engagement des ministres africains de la Santé de placer la vaccination en première ligne des efforts destinés à réduire la mortalité maternelle et infantile.

Les ministres africains de la Santé et autres acteurs engagés dans la problématique de la lutte pour la réduction de la mortalité infantile ont apposé leurs signatures dans une déclaration appelant à privilégier les vaccins pour vaincre le fléau.

Ils ont préconisé les vaccins pour pouvoir protéger les personnes de tous âges, notamment les enfants contre les maladies évitables, indique le communiqué final parvenu à l’APS.

"En Afrique, un enfant sur cinq n’a pas accès aux vaccins nécessaires, de base et d’importance vitale", renseigne la source qui explique ainsi les raisons de la promesse des ministres africains de la Santé à "aider à améliorer l’accès aux vaccins".

"Nos enfants représentent notre ressource la plus précieuse, et pourtant, un enfant sur cinq ne reçoit pas tous les vaccins dont il a besoin pour survivre et grandir en bonne santé. Des millions d’entre eux sont vulnérables à des maladies évitables par la vaccination", a regretté le Dr Kesetebirhan Admasu, ministre éthiopien de la Santé cité par le texte.

"Cette situation n’est pas acceptable. La vie des enfants africains compte. Nous devons œuvrer ensemble pour que les engagements pris à Addis-Abeba se traduisent en actes concrets", a-t-il soutenu.

La déclaration invite notamment les pays à "résorber le déficit de la vaccination d’ici 2020".

Organisée conjointement par les bureaux régionaux de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique (AFRO) et pour la Méditerranée orientale (EMRO) et la Commission de l’Union africaine (CUA), cette conférence est la toute première réunion ministérielle centrée exclusivement sur la nécessité de veiller à ce que tous les enfants du continent africain puissent avoir accès aux vaccins d’importance vitale.
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