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Sénégal : Le PIB par habitant évalué à 568 FCFA en 2015 (Ministre)
Publié le mardi 27 octobre 2015  |  Agence de Presse Africaine
Revue
© aDakar.com par DF
Revue à mi-parcours du (PNUAD)
Dakar, le 23 Avril 2015 - Le ministre de l`économie et des finances a pris part à la revue à mi-parcours du Plan-cadre d’assistance commune du système des Nations Unies pour l’aide au développement du Sénégal (PNUAD) pour la période (2012-2016). C`était en présence de la Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Sénégal. Photo: Amadou Bâ, ministre du plan, de l`économie et des finances




Le produit intérieur brut (PIB) par habitant du Sénégal est passé de 554 FCFA en 2014 à 568 FCFA en 2015, a déclaré mardi à Dakar le ministre de l’économie, des finances et du plan Amadou Bâ

M. Bâ, qui s'exprimait lors du lancement du rapport du Fonds monétaire international (FMI) sur les perspectives économiques de l'Afrique subsaharienne a ajouté que ce PIB par habitant qui se situait à 530 FCFA en 2011, soit une augmentation de 38 FCFA (1 FCFA équivaut à 0,0016 dollar).

Selon lui, ces données résultent du dernier cadrage macroéconomique arrêté avec le FMI et qui table sur un PIB de 8.150 milliards FCFA en 2015 contre 7.741 milliards FCFA en 2014, soit une augmentation de la richesse nationale de 409 milliards FCFA en hypothèse basse.

« Ces calcul ne tiennent pas compte des résultats définitifs de la campagne agricole qui seront de loin supérieurs aux prévisions », affirme le ministre.

Il avance en outre que les conditions internes plus propices imputables notamment au démarrage de la mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) et de la consolidation des échanges avec le Mali, ont été profitable à l'économie sénégalaise.

« Ainsi, estime M. Bâ, le taux de croissance du PIB réel est ressorti à 4,7% en 2014 contre 3,6% un an auparavant, porté par l'amélioration de la production dans le sous-secteur agricole, la relance des industries de l'huile et du sucre, mais également par le dynamisme des cimenteries, des bâtiments et travaux publics (BTP), de l'énergie, des télécommunications et des services financiers ».

Au plan budgétaire, le ministre annonce des résultats encourageants avec une mobilisation accrue des recettes combinée à une gestion prudente des dépenses publiques axée autour de la rationalisation des dépenses de fonctionnement.

Ce qui permet de faire passer le déficit budgétaire de 6,7% du PIB à 4,7% en 2015.

MS/of/APA
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