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Traque des biens mal acquis-auditions de Tanor, Niasse et Dansokho : la RADDOH arme la CREI
Publié le samedi 22 fevrier 2014   |  PressAfrik


Ousmane
© Autre presse par DR
Ousmane Tanor Dieng le secrétaire général du Parti socialiste (PS, mouvance, présidentielle)


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La Rencontre Africaine de Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) en phase avec le Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse et Amath Dansokho doivent s’expliquer sur la licéité de leurs biens. Aboubacry Mbodj lance la traque.
Sur la question, c’est l’avocat, homme politique et collaborateur du président Sall, Me Ousmane Seye qui est le premier à afficher cette position: La Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI) ne concerne pas que les libéraux. A partir de 1981, tous ceux qui ont eu à gérer les deniers publics le sont. « On a l’impression que cette loi ne concerne que les personnes qui ont exercé le pouvoir sous Wade de 2000 à 2012. C’est injuste. En réalité, cette loi qui a été votée par le président Abdou Diouf en 1981 vise toute personne depuis cette date. Et ce, jusqu’à aujourd’hui toute personne qui a été mise en demeure par le Procureur spécial pour prouver l’origine licite de ses biens », dit-il. Il est rejoint par les droits de l’hommistes.

En effet, la position de Me Ousmane Seye est défendue par la RADDHO dont le secrétaire général, Aboubacry Mbodj qui se veut clair et précis, assène sur les ondes de la Rfm que tous ceux qui ont tourné autour des biens publics sous Diouf jusqu’à présent doivent être poursuivis. La position du PDS est donné par son coordonnateur, Oumar Sarr qui entend même saisir le procureur spécial, Alioune Ndao sur les "biens très mal acquis" des alliés du président Sall dans le cadre de la mouvance présidentielle, la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).

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