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Plaidoyer pour une politique intégrée éducation-santé pour un meilleur avenir chez les jeunes
Publié le jeudi 8 octobre 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise




La directrice régionale de l’UNESCO Ann Therese Ndong Jatta a appelé mercredi à Dakar à la mise en place d’une politique intégrée éducation et santé en vue d’un meilleur avenir des jeunes en Afrique qui représente 60 % de la population.

’’Si on travaille sur la base de l’éducation de qualité en incluant certains sujets comme la santé de la reproduction et le VIH/Sida, ce sera possible de préparer un meilleur futur pour les jeunes. On a travaillé sur les curriculum, le Sénégal est l’un des pays phares qui ont introduit la question de l’éducation à la santé reproductive’’, a souligné la directrice régionale de l’UNESCO.

Elle s’exprimait à l’ouverture de la conférence régionale sur l’éducation à la santé de la reproduction en Afrique de l’Ouest et du Centre avec comme thème ‘’Accélérer la mise en œuvre de l’éducation sur le VIH, les grossesses chez les adolescentes et les violences basées sur le genre’’.

Cette conférence, a précisé Mme Ann Therese Ndong Jatta, ’’va réfléchir sur comment travailler ensemble pas seulement pour les pays mais les partenaires et les bailleurs de fonds et demander aux Chefs d’Etat de mieux investir chez les jeunes’’.

’’On ne peut pas prendre plus 60 % de la population et ne pas réfléchir sur leur santé et leur éducation pour le développement des jeunes. Il faut une politique intégrée éducation, santé sans oublier la question de l’emploi des jeunes car on a des possibilités avec nos populations qui doivent être des avantages’’, a t-elle relevé.

Pour le directeur régional de l’UNFPA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Mabingue Ngom, ’’il est important d’investir dans l’éducation et particulièrement dans l’éducation de la jeune fille’’.

Selon lui, ’’les progrès ne sont pas très brillants dans la région Afrique de l’ouest et du centre où également les mariages et les grossesses précoces sont prédominants’’.

’’Il faut réduire les mariages précoces, faire en sorte que les filles restent dans les classes. Pour cela, on doit prôner la mobilisation des acteurs, de la société civile’’ a-t-il ajouté.

Présidant l’ouverture de cette rencontre, le directeur de la santé de la reproduction et de la survie de l’Enfant (DSRSE), Dr. Bocar Daff a souligné que le Sénégal a un plan stratégique 2014/2018 où les adolescentes et les jeunes auront une pleine participation et un accès équitable à la santé de la reproduction.

Pendant trois jours, les participants venus de plusieurs d’Afrique de l’Ouest et du Centre vont débattre du contexte épidémiologique, des liens entre santé de la reproduction, la violence basée sur le genre, l’éducation, la dividende démographique et l’éducation à la santé de la reproduction.
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