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Sept chefs d’État participent au sommet sur la crise au Burkina Faso
Publié le mardi 22 septembre 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise
Cérémonie
© Présidence de CI par SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE
Cérémonie d`ouverture du Sommet extraordinaire de la CEDEAO, à Dakar
La cérémonie d`ouverture du Sommet extraordinaire de la CEDEAO, à Dakar, ce samedi 12 septembre 2015, huit des chefs d’Etat des pays membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) participent à ce sommet




Le président en exercice de la CEDEAO, Macky Sall, et six de ses pairs de l’organisation régionale participent, mardi, à Abuja, au sommet consacré à l’examen du "projet d’accord de sortie de crise" prévu pour le Burkina Faso.

La réunion a démarré peu après 12h GMT (13h à Abuja), a constaté l’envoyé spécial de l’APS.

Sept autres pays de la CEDEAO sont représentés à un niveau inférieur : Cap-Vert, Gambie, Liberia, Sierra Leone, Guinée, Guinée-Bissau et Mali.

Muhammadu Buhari a présidé la cérémonie d’ouverture du sommet, qui se tient au moment où l’armée du Burkina Faso a enjoint aux militaires putschistes de la garde présidentielle de déposer les armes.

Des soldats loyalistes sont entrés lundi soir dans la capitale, Ouagadougou, sans rencontrer de résistance, tandis que leurs chefs entamaient des discussions sur la reddition du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), auteur du coup d’Etat de mercredi dernier.
A Abuja, Macky Sall et ses pairs vont discuter des 12 propositions du "projet d’accord" élaboré la semaine dernière à Ouagadougou, lors de consultations avec les militaires, les hommes politiques et la société civile burkinabè, à la suite du coup d’Etat survenu jeudi dernier.

Ce "schéma" de sortie de crise préconise le retour au pouvoir du président de la transition entamée en novembre 2014, Michel Kafando, la participation aux prochaines élections de tous les partisans de Blaise Compaoré exclus, et le retrait des militaires du gouvernement burkinabè.

Il propose la tenue, au plus tard le 22 novembre, des élections présidentielle et législatives prévues initialement le 11 octobre.

Le texte préconise aussi "la libération immédiate de toutes les violences" au Burkina Faso et l’"adoption d’une loi d’amnistie", au plus tard le 30 septembre, en faveur des auteurs du putsch.
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