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© aDakar.com par DF
Le PM a présidé une réunion consacrée au dialogue social Dakar, le 15 Octobre 2014- Le Premier ministre Mahammad Boun Abdallah Dionne a présidé une réunion consacrée au dialogue social mardi au King Fahd Palace. Photo: Maïmouna Ndoye Seck, ministre de l`énergie |
L’"abordage" ou collision entre un Boeing 737 800 de la compagnie Ceiba et l’aéronef de la compagnie privée Sénégalair a bien eu lieu, a confirmé lundi la ministre sénégalaise des Transports aériens, Maïmouna Ndoye Seck.
Elle a dit, lors d’une conférence de presse, avoir reçu de son homologue de Guinée Equatoriale un rapport des services aéroportuaires de ce pays d’Afrique centrale faisant état d’un "abordage" – un terme synonyme de collision dans le vocabulaire de l’aviation - entre les deux avions.
Un avion médical de la compagnie privée sénégalaise Sénégalair est porté disparu depuis samedi soir.
Son dernier contact avec les services aéroportuaires à Dakar a eu lieu peu après 19h GMT, lorsque l’appareil se trouvait à 111 km à l’ouest de la capitale sénégalaise.
L’avion parti de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, avait à bord sept passagers : les trois membres de l’équipage, à savoir deux Algériens et un Congolais, un médecin sénégalais et deux de ses compatriotes, qui sont infirmiers et une patiente de nationalité française.
L’aéronef a un Boeing 737 800 de la compagnie Ceiba à destination de Cotonou, à 18h 12 min GMT, à environ 555 km de Dakar, a indiqué l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) du Sénégal.
Le rapport reçu de son homologue de Guinée Equatoriale contient "des photos de l’aile de l’avion de Ceiba", a indiqué la ministre sénégalaise.
Selon Maïmouna Ndoye Seck, la tour de contrôle de l’aéroport de Bamako (Mali) a également confirmé l’"abordage" entre les deux avions.
Elle affirme que l’avion de Sénégalair respectait les conditions requises par les règles de l’aviation civile pour la navigation aérienne.
"On ne peut pas (…) dire que l’avion présentait des ennuis techniques. C’est l’enquête qui permettra de dire s’il y a eu des défaillances techniques", a ajouté Mme Seck.
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