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Dopage au sein de l’athlétisme: Les clarifications de Lamine Diack attendues
Publié le mercredi 12 aout 2015  |  Sud Quotidien
Lamine
© aDakar.com par DF
Lamine Diack, président de l`IAAF, décoré par le Chef de L`Etat Macky Sall
Le 16 Avril 2014- La réunion du Conseil exécutif de l’Association internationale des fédérations d`athlétisme (Iaaf) s’est achevée mardi à Dakar. Le séjour dans la capitale sénégalaise a été le prétexte pour le président de la République pour élever Lamine Diack au grade de Commandeur de l’Ordre national du Lion alors que huit de ses collaborateurs ont été élevés aux grades d’Officiers et de Chevaliers de l’Ordre national du Lion. En retour, le Conseil a décerné à Macky Sall, l’Ordre du Mérite d’Or de l’Iaaf « au nom de la famille de l’athlétisme ».




Le président du Cnoss est toutefois revenu sur la question de l’éthique et sur le dopage qui fait débat au sein de l’Iaaf. «L’éthique, c’est la base de tout. Nous n’avons jamais dérogé à cela. Cela se pose dans toutes les instances internationales.

Pour le dopage, on a tous lu le communiqué du président Lamine Diack. Il a fait avec les instruments qu’il avait et validé par l’agence mondiale de lutte contre le dopage. Maintenant, je crois qu’il ne faut pas toujours jeter l’opprobre sur les athlètes. Pour le moment le comité d’éthique de l’Iaaf va déposer sa conclusion dans quelques jours à Pékin. Sur le dopage Lamine Diack aura à cœur de clarifier parce qu’on ne lui reconnait pas la tricherie. Son mérite est beaucoup plus ancré », dira-t-il.

Interpelé sur les chances de l’Afrique d’abriter les Jeux olympiques ou encore la Coupe du monde de la Fiba, Diagna Ndiaye n’écarte pas la possibilité de sa tenue mais il pose le préalable des réceptifs et les infrastructures. «Pourquoi pas ? Mais cela demande une syndication des pays. Si on prend comme hypothèse de l’Afrique de l’Ouest, c’est peut être jouable sur cinq pays. Il faut des réceptifs sur un certain nombre de pays. Que l’on ait suffisamment de stades, de dessertes aériennes. Il y a un atout un ensemble d’infrastructures, de logistiques, qu’il faut additionner. Si nos Etats déposent d’une manière collégiale une candidature, c’est peut-être quelque chose que l’on peut envisager. Il faut évaluer. Maintenant est ce que avec la situation post crise de la Fifa, est ce que c’est possible ? C’est le vouloir de Hayatou. Reste à savoir s’il peut le faire. C’est une hypothèse que l’on peut retenir. Il faut lever ces contraintes qui sont réelles», conclut-il.
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