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L’affaire Tahibou Ndiaye en délibéré au 9 novembre
Publié le vendredi 3 juillet 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise
Tahibou
© Autre presse par DR
Tahibou Ndiaye ex-Dg du Cadastre




La Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) a mis en délibéré au lundi 9 novembre 2015 le verdict de l’affaire Tahibou Ndiaye.

La Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) a mis jeudi en délibéré au lundi 9 novembre 2015 le verdict de l’affaire Tahibou Ndiaye, pour laquelle l’ancien directeur du Cadastre et d’autres prévenus sont poursuivis pour enrichissement illicite présumé portant sur 3,5 milliards de francs CFA.

Le procureur spécial de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), Cheikh Tidiane Mara, a requis lundi une peine de cinq ans de prison ferme et une amende de 3,94 milliards de francs CFA contre le principal prévenu, Tahibou Ndiaye.

Il a aussi demandé la confiscation des biens visés dans la procédure judiciaire visant M. Ndiaye.

Le parquet spécial de la CREI a aussi sollicité la contrainte par corps au maximum, contre l’ex-directeur du Cadastre.

Cheikh Tidiane Mara a demandé à la Cour de condamner les autres prévenus pour le délit de complicité d’enrichissement illicite.

Il a requis deux ans de prison non assortis du sursis pour Ndèye Aby Diongue, l’épouse de Tahibou Ndiaye, laquelle est condamnée également à payer une amende de 3,94 milliards de francs CFA.

Le parquet a également demandé la confiscation des biens concernant Mme Ndiaye et étant visés dans cette affaire.

Mame Fatou et Ndèye Rokhaya Thiam, deux filles adoptives de Tahibou Ndiaye, devraient écoper de deux ans de prison assortis de la loi sur le sursis, si la Cour suivait les réquisitions du procureur spécial.

Lequel veut aussi que chacune des sœurs Thiam soit condamnée à payer une amende de 3,94 milliards de francs CFA. De même a-t-il requis la confiscation de tous leurs biens visés dans la procédure.

"Si la Cour décide de la recevabilité du dossier, qu’elle n’entre pas en voie de condamnation. Elle doit relaxer les prévenus, sans peine ni dépens, et de débouter la partie civile de ses demandes", a plaidé Me Borso Pouye, membre du pool d’avocats commis par les prévenus.
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