Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratiques    Le Mali    Publicité
aDakar.com NEWS
Comment

Accueil
News
Sport
Article
Sport

Otto Pfister s’interroge sur l’absence de palmarès du football sénégalais
Publié le samedi 4 avril 2015  |  Agence de Presse Sénégalaise




L’entraîneur de l’USM Alger, Otto Pfister, qui a dirigé les Lions du Sénégal au début des années 1980, s’est interrogé sur le manque de résultats du football sénégalais en dépit de la qualité de ses joueurs.

''Je me demande pourquoi, malgré les joueurs dont dispose le Sénégal, il ne gagne toujours pas en Afrique’’, a dit le technicien allemand qui s’est dit heureux d’avoir rencontré d’anciens joueurs qu’il a eu à entrainer à l’image de Koto (Joseph).

Le technicien allemand qui a dirigé plusieurs sélections en Afrique, dit avoir mal quand il voit le Sénégal se faire sortir des compétitions continentales.

''Avec une attaque composée de joueurs comme Diouf (Mame Biram), Cissé (Papiss) et Ba (Demba), je me demande quelle défense en Afrique peut arrêter le Sénégal'', a dit en conférence de presse le technicien allemand dans un français hésitant.

''C’est vrai qu’il y a des conflits en interne que je ne maîtrise pas’’, a-t-il soufflé se souvenant que quand il entraînait au Sénégal, le titre de champion se jouait entre les équipes du Jaraaf, de la Jeanne d’Arc et de l’US Gorée.

''Il y avait parfois l’équipe de Casamance (Casa Sports) et celle de Diourbel (SEIB actuelle Suneor) qui venait, mais pas Pikine'', a-t-il dit en conférence de presse indiquant avoir demandé des nouvelles de la Jeanne d’Arc.

''Koto m’a dit que la JA jouait en division 3. J'ai dit que ce n’est pas possible’’, a-t-il dit se disant ému après avoir appris les disparitions de Karim Seye, ancien attaquant international et de Mansour Wade, ancien gardien de but.

''J’ai eu du plaisir à discuter avec Koya (Madi Kouyaté, ancien entraîneur national et son adjoint) qui est actuellement malade'', a-t-il rappelé estimant que le football doit permettre de créer des liens entre les personnes.

''Le football, ce n’est pas la guerre, c’est un facteur d’unité'', a-t-il par ailleurs ajouté.
Commentaires

Sondage
Nous suivre

Nos réseaux sociaux


Comment