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Affaire Aida Ndiongue - CBAO-ATTIJARI : les 7 questions clés sans réponse
Publié le vendredi 7 fevrier 2014   |  Seninfos


Les
© aDakar.com par DF
Les avocats de Aida Ndiongue portent la réplique au procureur de la République
Les avocats de Aida Ndiongue ont tenu une conférence de presse, le lundi 20 janvier dans un célèbre hôtel, pour réagir à la sortie du procureur de la république sur le patrimoine de leur client. Selon le pool d`avocats, le procureur a simplement violé le secret de l`instruction. Pour cela, ils annoncent une plainte contre Serigne Bassirou Guèye. De très fortes notabilités du Parti Pémocratique Sénégalais font partie des avocats. Il s`agit de Me Souleymane Ndéné Ndiaye et de Me Amadou Sall.


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[B] Des éléments de la gendarmerie ont fait mardi, en nombre et en force, une descente au siège de la banque pour remettre entre les mains de l'Etat du Sénégal les 47 milliards découverts dans les coffres. L’Etat est donc désormais détenteur des 47 milliards de francs Cfa de Aïda Ndiongue jusqu’à la fin des enquêtes sur l’origine de cette fortune. Mais selon les informations parues dans la presse, de nombreuses zones d’ombre subsistent.[/B]

FinancialAfrik qui relève les 7 questions revenues dans ses entretiens avec des banquiers de la région, pose un débat sérieux sur les motivations de la CBAO devenue le premier groupe bancaire sénégalais à la suite de l'acquisition de 79,15 % du capital de la Compagnie bancaire de l’Afrique occidentale (CBAO) auprès du groupe Mimran par le groupe marocain Attijariwafa Bank en novembre 2007.

Rappelons qu'en décembre 2008 l'absorption d'Attijari Bank Sénégal devenait une réalité. Ces deux opérations majeures ont été enregistrée sous l'administration Wade, l'époque de la toute puissante et redoutable Aïda Ndiongue.

Ces questions qui reviennent selon FinancialAfrik sont celles-ci :

1- Pourquoi le patron de la CBAO, Abdelkrim Raghni, n’était au courant de rien.

2-Pourquoi confond-il la location du coffre fort de la banque, logé dans une chambre forte avec caméras de surveillance, à la location d’une voiture?

3-Pourquoi la Commission bancaire et la BCEAO, gardiennes de l’orthodoxie bancaire en zone UEMOA, sont en retrait dans ce dossier ?

4-Pourquoi le patron de CBAO et ses collaborateurs n’ont pas fait une déclaration de soupçon, procédure minimale face à une personnalité politiquement exposée détenant 23 coffres?

5-Combien de personnes en zone UEMOA détiennent 23 comptes et plus de 47 milliards ?

6- Quel est le parcours d’Abdelkrim Raghni jusqu”à sa nomination à ce poste stratégique de représentant de la deuxième banque de l’UEMOA au Sénégal?

-7 La déclaration de soupçon envoyée à la brigade financière viole-t-elle le secret bancaire?

David LY avec FinancialAfrik

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